Vous souhaitez faire une demande d'extrait de cadastre à la mairie de Saint-Gildas-de-Rhuys? Voici les démarches administrative pour obtenir un plan cadastral auprès de la mairie de Saint-Gildas-de-Rhuys MorbihanDocument graphique sur lequel sont reportées à l’échelle l’ensemble des parcelles cadastrales, un extrait de plan cadastral est nécessaire lors de la constitution de certains dossiers tels que le dépôt d’un permis de construire ou une demande de certificat d’urbanisme. Il permet en particulier de visualiser les limites exactes et la superficie d’une parcelle règles d’urbanisme réglementant ce qui peut être envisagé dans chaque secteur d’une commune, il est conseillé de les consulter avant un achat ou la planification de travaux de rénovation, afin d’éviter les les communes, les documents d’urbanisme en vigueur sont un PLU plan local d’urbanisme, un POS, une carte communale ou le pour savoir à qui appartient un bien immobilier ou un terrain, un extrait de matrice cadastrale est un document édité par les impôts fonciers qui fait mention du nom et de l’adresse de la personne à laquelle est envoyé annuellement l’avis de taxe vous souhaitez consulter en ligne le plan cadastral de la commune de Rue Saint-Goustan 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys, recevoir par email le zonage et le règlement qui s’applique sur une parcelle ou recevoir par courrier postal un extrait de matrice cadastrale, il vous suffit de remplir le formulaire les démarches pour obtenir une demande de cadastre auprès de la mairie de à l'adresse Rue Saint-Goustan 56730 qui délivrera le plan cadastralRue Saint-Goustan 56730 Saint-Gildas-de-RhuysCadastre Saint-Gildas-de-RhuysSaint-Gildas-de-Rhuys édite un plan limitant chacune des propriétés de son territoire. Les noms des propriétaires Gildasiens, Gildasiennes de ces parcelles sont inscrits dans un registre.AccueilPlan du site Forum. Assiste.com. Saint-Gildas-de-Rhuys (Département : Morbihan (56) - Région : Bretagne) Dernière date de publication : 05.04.2015 - (Wed, 9 Jun 2021 18:12:44 +0200) Dernière date de révision majeure : 31.05.2020. Saint-Gildas-de-Rhuys est une commune de France. Situation : Département : Morbihan (56) - Région : Bretagne . Dossier :
PLU, cadastre et risques naturels pour la ville de Saint-Gildas-de-Rhuys 56 Retrouvez sur cette page toutes les informations utiles pour vous aider à mener à bien votre projet immobilier dans la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys Morbihan. Vous trouverez ainsi des informations sur les documents d'urbanisme utiles et, pour certains, obligatoires dans le cadre de votre projet qu'il s'agisse d'un achat ou d'une construction documents donnant les règles d'urbanisme en vigueur dans la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys, certificats d'urbanisme, plans cadastraux, permis de construire...Vous trouverez également des informations précieuses sur les risques environnementaux et l'occupation des sols à Saint-Gildas-de-Rhuys bassins à risque, risque radon, risque sismique, plans de prévention en vigueur, répartititon de l'occupation des sols, périmètres de sites industriels, point de vue strictement immobilier, vous trouverez une liste des transactions immobilières récentes à Saint-Gildas-de-Rhuys, vous permettant d'obtenir un aperçu de l'état du marché. Il vous est posssible d'accéder directement aux parties de cette page qui vous intéressent en cliquant sur l'un des liens ci-dessous. Les documents d'urbanisme à Saint-Gildas-de-Rhuys Les communes françaises se dotent progressivement d'un PLU, document local d'urbanisme indiquant les règles d'urbanisme en vigueur sur leur territoire qui visent à remplacer progressivement les POS plans d'occupation des sols, en application de la loi SRU Solidarité et au Renouvellement Urbain. Dans certaines communes, un PLU n'a pas encore été élaboré et le POS est encore en vigueur. Le PLU à Saint-Gildas-de-Rhuys Le PLU plan local d'urbanisme et le PLUi plan local d'urbanisme intercommunal sont des documents d'urbanisme établissant les règles en la matière sur le territoire d'une commune ou d'un groupement de communes communauté de communes, communauté d'agglomérations ou encore communauté urbaine. D'après nos informations, le territoire de la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys 56 est couvert par un PLU se compose de plusieurs éléments dont le PADD projet d'aménagement et de développement durable, les orientations d'aménagement et de programmation ou encore les documents écrits et graphiques de zonage et de derniers éléments sont particulièrement utiles en cas de projet d'urbanisme la ou les cartes de zonages permettent, en effet, de déterminer dans quel type de zone urbaine, à urbaniser, agricole, naturelle... se trouve un bien immobilier et le règlement écrit fait état des règles d'urbanisme dont, pour certaines, l'inconstructibilité en vigueur dans chaque type de zone. Le cadastre à Saint-Gildas-de-Rhuys En France, le but du cadastre est de recenser et actualiser l'ensemble des propriétés foncières du territoire français. Ces propriétés foncières apparaissent sur les plans cadastraux sous forme de parcelles. Une parcelle cadastrale est désignée par la commune sur le territoire de laquelle elle se trouve, par une section cadastrale une ou deux lettres et un numéro de la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys qui tient et met à jour le cadastre. Le cadastre se compose d'un plan cadastral, composé de plusieurs feuilles cadastrales une ou plusieurs par section, les sections étant des portions territoriales de la commune, qui ne renseigne pas sur les propriétaires des parcelles et d'une matrice matrice cadastrale contient des informations sur les propriétaires des parcelles ainsi que la liste des parcelles de la commune détenues par chaque propriétaire. La matrice cadastrale indique également la VLC valeur locative cadastrale qui sert pour le calcul des impôts locaux dont la taxe foncière. Les zones du PLU Le PLU applicable à une commune ou pour un groupement de commune, le PLUi pour intercommunal est régi par le Code de l'urbanisme, en particulier le titre V du livre Ier et comporte une documentation graphique sous forme de cartographie divisant le territoire de la commune en principales zones du PLU sont les suivantes Les zones classées U urbaines, en application du règlement déjà équipées en terme d'évacuation d'eau, de raccordement aux réseaux énergie, eau et d'infrastructures routières, la construction y est théoriquement les zones urbaines spécifiques, on peut citer les zones urbaines mixtes UA ; les zones d'extension urbaine UB ; les zones d'intérêt paysager UCA ; les zones portuaires ou fluviales UP ; les zones urbaines de faible densité UD ; les zones dédiées aux équipements de loisir et activités touristiques UL les zones dédiées à l'hébergement touristique, aux commerces et infrastructures liées à cet hébergement UT. Les zones classées AU à urbaniser, en application du règlement ces zones sont en cours d'aménagement et sont prévues pour accueillir de nouvelles habitations. L'avancement de leur raccordement aux réseaux ou aux infrastructures routières est variable. Parmi les différents types de zones AU, on peut citer les zones d'habitat 1AUa ; les zones situées dans le centre-bourg de la commune destinées à la construction d'habitations et structures d'activités liées à la vie du centre-bourg 1AUc. Les zones classées A agricoles, en application du règlement ces zones sont dédiées à l'agriculture et la construction y est généralement impossible sauf, dans certains cas précis par exemple, si les nouvelles constructions ont pour but l'exploitation les différentes zones agricoles, on peut citer les zones destinées aux constructions liées à la formation agricole AC ; les zones d'agriculture protégées AP. Les zones classées N naturelles, en application du règlement la construction y est généralement impossible pour des raisons environnementales. Parmi les nombreux types de zones naturelles, on peut citer les zones naturelles écologiques sensibles NE ; les zones dédiées au camping et équipements de loisir ou sportifs NL ; les zones de protection des captages d'eau potable NP. Attention, les zones listées ci-dessus sont des zones générales données à titre indicatif. Dans les faits, les dénominations des zones à Saint-Gildas-de-Rhuys sont très vraisemblablement plus précises avec des règlementations très spécifiques. Il peut, par exemple, exister plusieurs types de zones urbaines avec, pour chaque type de zone urbaine, une règlementation très précises. Pour connaître en détails les différentes règles d'urbanisme applicables à une zone indiquée sur le plan de zonage, il faut se reporter à la partie intitulée généralement "règlement écrit" du PLU. Demander un certificat d'urbanisme à Saint-Gildas-de-Rhuys Demander un certificat d'urbanisme permet, s'il s'agit d'un certificat d'urbanisme d'information, d'obtenir des informations sur un terrain superficie du terrain, existence éventuelle de servitude, de droit de passage, taxes applicables taxe départementale, taxe communale et autres taxes spécifiques comme, le cas échéant, la redevance archéologique préventive, certificat d'urbanisme opérationnel peut également être demandé. En plus des informations délivrées dans le certificat d'urbanisme d'information, on trouve des informations relatives à la faisabilité d'un projet immobilier détaillé par le demandeur dans sa informations présentes sur le certificat d'urbanisme sont valables 18 mois à compter de l'émission du document. Autrement dit, si une autorisation d'urbanisme est demandée dans les 18 mois suivant l'obtention du certificat d'urbanisme, elle sera instruite selon les règles et les taxes indiquées sur le certificat d'urbanisme. De même, si un droit de préemption est instauré par la mairie après l'obtention du certificat, il ne sera applicable qu'après la date de fin de validité du certificat d'urbanisme. Demander un permis de construire à Saint-Gildas-de-Rhuys L'obtention d'un permis de construire est conditionné par la conformité du projet de construction avec le code de l'urbanisme mais aussi, s'ils existent, les documents locaux d'urbanisme PLU, POS ou Carte Communale. Ce document est obligatoire dans la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys 56 avant de débuter les travaux pour toute construction, même sans fondations, dont l'emprise au sol ou la surface de plancher est supérieure à 20 m². Le délai d'instruction donnant lieu ou non à la délivrance d'un permis de conduire peut atteindre 2 mois pour une maison individuelle et ses annexes et 3 mois pour toute autre construction. Une fois délivré, le permis de construire permet de bâtir durant les trois ans qui suivent. Il peut aussi être prolongé deux fois pour une période d'un an soit deux ans au total, portant sa validité à 5 ans.Bien qu'il faille que la construction projetée soit conforme aux règles d'urbanisme contenues dans le PLU plan local d'urbanisme, le POS plan d'occupation des sols, la carte communale en vigueur sur le territoire de la commune ou encore le règlement national d'urbanisme en l'absence de documents d'urbansime locaux, cette conformité ne garantit pas la délivrance automatique d'un permis de construire. Un certificat d'urbanisme délivré moins de 18 mois avant le permis de construire permet, quant à lui, de "figer" les règles en matière d'urbanisme et de taxes. Autrement dit, les informations relatives aux données contenues dans le certificat d'urbanisme restent valables pour la délivrance du permis de construire. Contacter la mairie de Saint-Gildas-de-Rhuys Voici les coordonnées de la mairie de Saint-Gildas-de-Rhuys, dans le département , qui peut être contactée pour des questions d'urbanisme. Vos démarches foncières à Saint-Gildas-de-Rhuys Nombreux sont les documents utiles ou même incontournables pour mener à bien un projet immobilier certificat d'urbanisme opérationnel ou d'information, permis de construire, copie d'acte de vente, état hypothécaire ou encore règlement de copropriété... Vous trouverez ci-dessous des informations utiles sur chacun de ces documents. Demander un état hypotécaire à Saint-Gildas-de-Rhuys L'état hypothécaire est un document utile dans le cadre d'une vente immobilière puisqu'il prouve que le bien vendu n'a pas été hypothéqué. Cependant, il peut s'avérer utile dans d'autres cas puisqu'il indique diverses informations sur un bien immobilier, qu'il s'agisse d'une maison, d'un appartement ou d'un terrain. Ce document archivé au sein du service de publicité foncière compétent, qui dépend du Ministère des finances, permet notamment de connaître l'identité du ou des propriétaires du bien, les références cadastrales de celui-ci, les éventuelles servitudes, réserves ou hypothèques concernant le bien...Il permet également de connaître les changements opérés sur une parcelle, comme un remaniement ou une division outre, il retrace l'historique des cessions successives du bien, qu'il s'agisse de vente, de succession ou de donation. Demander une copie de règlement de copropriété à Saint-Gildas-de-Rhuys En France, le premier texte relatif au statut de la copropriété est la loi du 28 juin 1938 mais c'est depuis la loi du 10 juillet 1965, toujours en vigueur, qui l'a remplacé. Le règlement de copropriété d'un bien immobilier fait état des droits et obligations qui incombent aux différents copropriétaires ainsi que les règles générales de fonctionnement de la copropriété. Il indique aussi quelles sont les parties communes et les parties privatives au sein de la détail des charges de copropriété est également indiqué dans ce document. Cependant, afin de connaître la part des charges qui revient à chaque copropriétaire, il faut se reporter au détail des tantièmes, indiqué dans l'état descriptif de division, un document généralement indexé au règlement de faire modifier un règlement de propriété, les changements, à l'intiative d'un copropriétaire ou du syndicat de copropriété, doivent obligatoirement être votés à l'occasion d'une assemblée générale. Connaitre le propriétaire d'un bien immobilier à Saint-Gildas-de-Rhuys Pour connaître l'identité du ou des propriétaires d'un bien immobilier, il faut adresser une demande au SPF service de publicité foncière en charge de la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys pour l'enregistrement des cessions immobilières. Demander une copie d'acte de vente à Saint-Gildas-de-Rhuys L'acte de vente fait suite à un compromis de vente ou une promesse de vente et sa signature est effectuée chez le notaire. Ce document indique diverses informations sur le bien immobilier et la cession montant de la vente, existence éventuelle d'un bien immobilier, montant des frais éventuels d'agence immobilière, identité du vendeur et de l'acquéreur, descriptif et adresse du bien, date de la cession du bien...Pour obtenir une copie de ce document, il faut adresser une demande au SPF service de publicité foncière dont dépend la publication foncière de la commune où se trouve le bien ou bien à l'office du notaire devant lequel la vente a été conclue. Contacter le SPF de Saint-Gildas-de-Rhuys Les actes notariés relatifs à l'immobilier sont transmis au service de publicité foncière. Voici, parmi plus de 300 services de publicité foncière de France, les coordonnées du SPF compétent pour la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys Morbihan. En France, l'achat d'un bien immobilier nécessite la signature d'un acte de vente devant notaire, précédé de la signature d'une promesse ou d'un compromis de vente. Cette étape préalable engageant l'acheteur et le vendeur, a lieu environ trois mois avant la signature de l'acte authentique de 2019 en France, le marché immobilier ne connaît pas de fléchissement. Au contraire, le nombre de biens immobiliers vendus a dépassé, cette année-là, le million. Par rapport à l'année précédente, l'augmentation du volume des ventes avoisine les 11%. Les dernières cessions immobilières à Saint-Gildas-de-Rhuys Vous pouvez retrouver ci-dessous la liste des dernières transactions immobilières concernant des maisons, appartements ou terrains dans la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys 56730 avant le 30 juin 2020. Date Adresse Type de bien Surface bâti Surface du terrain Valeur foncière Date 26/06/20 Adresse 18 IMP DES PEUPLIERS Type Maison Bati 138 m2 Terrain 788 m2 Valeur € Date 11/06/20 Adresse RUE DES PALUDS Type Terrain Bati - Terrain 699 m2 Valeur € Date 04/06/20 Adresse 6 CHEMIN DU PARC Type Maison Bati 71 m2 Terrain 922 m2 Valeur € Date 02/06/20 Adresse 20 RTE DE GOAHSSINY Type Appartement Bati 42 m2 Terrain - Valeur € Date 27/05/20 Adresse 33 RTE DE SARZEAU Type Maison Bati 97 m2 Terrain 872 m2 Valeur € Date 20/05/20 Adresse 24 CHE DU CLOS GUILLEMETTE Type Maison Bati 75 m2 Terrain 880 m2 Valeur € Date 07/05/20 Adresse 5 B RUE DES PALUDS Type Maison Bati 120 m2 Terrain 1050 m2 Valeur € Date 16/04/20 Adresse 1 RUE LIOR FARDIAL Type Maison Bati 113 m2 Terrain 70 m2 Valeur € Date 08/04/20 Adresse 5165 CHE DE HENT BIHAN Type Maison Bati 121 m2 Terrain 604 m2 Valeur € Date 25/03/20 Adresse 40 RTE DE KERNOLIVES Type Maison Bati 187 m2 Terrain 303 m2 Valeur € Le marché des maisons à Saint-Gildas-de-Rhuys Prix moyen d'une maison vendue à Saint-Gildas-de-Rhuys 3186 €/m2 Surface moyenne d'une maison vendue à Saint-Gildas-de-Rhuys 97 m2 Pourcentage de maisons parmi les biens vendus à Saint-Gildas-de-Rhuys 77% Données recueillies entre le 1er janvier et le 30 juin 2020 Le marché des appartements Prix moyen d'un appartement vendu à Saint-Gildas-de-Rhuys 5357 €/m2 Surface moyenne d'un appartement vendu à Saint-Gildas-de-Rhuys 31 m2 Pourcentage d'appartements parmi les biens vendus à Saint-Gildas-de-Rhuys 9% Données recueillies entre le 1er janvier et le 30 juin 2020 Le marché des terrains à Saint-Gildas-de-Rhuys Prix moyen d'un terrain vendu à Saint-Gildas-de-Rhuys 341 €/m2 Surface moyenne d'un terrain vendu à Saint-Gildas-de-Rhuys Inconnue Pourcentage de terrains parmi les biens vendus à Saint-Gildas-de-Rhuys 14% Données recueillies entre le 1er janvier et le 30 juin 2020 Le marché de l'immobilier en Bretagne En Bretagne, région où se situe la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys , le marché de l'immobilier est dynamique, avec, en 2020, une hausse des prix immobiliers de 10%. Pour les maisons, le prix d'achat au mètre carré atteint, en 2020, 2 170 €, un chiffre comparable à celui du marché global français 2 190 €. Une maison ancienne achetée en Bretagne en 2020 a un prix moyen de 245 000 € et une surface moyenne de 116 appartements connaissent eux aussi une hausse des prix avec une augmentation de 7% en un an mais leurs prix demeurent très en-dessous de la moyenne nationale. Un appartement acheté en 2020 en Bretagne coûte, en moyenne, 145 000 € soit 2 500 €/m² et propose une superficie de 59 m². Les gares à Saint-Gildas-de-Rhuys et aux alentours Si vous désirez connaître la desserte ferroviaire de la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys et de ses environs pour étayer votre projet immobilier, vous pouvez consulter la carte ci-contre. Les catastrophes naturelles à Saint-Gildas-de-Rhuys Inondations, feux de forêt, avalanches, vagues de chaleurs... De 1900 à 2017, 180 catastrophes naturelles ont été recensées en France. D'après une étude publiée par le ministère de la transition énergétique en janvier 2020, seules 8 000 communes françaises seraient à l'abri de toute catastrophe naturelle. En France, les catastrophes naturelles les plus meurtrières depuis 1900 sont les séismes 59% des décès, les vagues de chaleur 35% des décès et les phénomènes atmosphériques 4% des décès.Le ministère de l'Écologie et du Développement durable a établit une échelle de gravité des catastrophes naturelles et technologiques. Cette classification comprend 6 niveaux. Le niveau 0 "incident" concerne les aléas naturels n'ayant causé aucun mort et/ou des dommages matériels inférieurs à 300 000 €. Le niveau 1 "accident" concerne les aléas naturels ayant causé un mort ou plusieurs blessés et/ou des dommages matériels entre 300 000 € et 3 M d'€. Le niveau 2 "accident très grave" concerne les aléas naturels ayant causé 10 à 99 morts ou plusieurs blessés et/ou des dommages matériels entre 3 M € et 30 M d'€. Le niveau 3 "accident grave" concerne les aléas naturels ayant causé 1 à 9 morts ou plusieurs blessés et/ou des dommages matériels entre 30 M € et 300 M d'€. Le niveau 4 "catastrophe" concerne les aléas naturels ayant causé 100 à 999 morts ou plusieurs blessés et/ou des dommages matériels entre 300 M € et 3 000 M d'€. Le niveau 5 "catastrophe majeure" concerne les aléas naturels ayant causé 1000 morts ou davantage et/ou des dommages matériels évalués à 3 000 M d'€ ou plus. Depuis 2000, l'application Gaspar Gestion Assistée des Procédures Administratives relatives aux Risques naturels et technologiques a recensé 77 événements de catégorie 3, 4 ou 5 en France. Les risques d'innondation à Saint-Gildas-de-Rhuys Les inondations représentent 61% des catastrophes naturelles survenues en France entre 1900 et 2017. De nombreux phénomènes peuvent causer des inondations en France crues torrentielles, inondations des cours d'eau, remontées de nappes phréatiques, submersions marines, inondations par ruissellement urbain... Les zones inondables à Saint-Gildas-de-Rhuys Une zone inondable en France est définie comme un territoire ayant déjà subi des inondations récurrentes ou bien une ou plusieurs inondations exceptionnelles, accidentelles. Pas moins de 40% du territoire se trouve en zone inondable. Aucune donnée concernant les zones inondables Les plans PAPI à Saint-Gildas-de-Rhuys Les programmes d'action de prévention des inondations PAPI de 3e génération, en vigueur actuellement et depuis 2018 en réaction aux graves inondations survenues en mai-juin 2016, ont pour objectif la collaboration entre l'État français et les collectivités pour une gestion globale du risque d'inondation. Retrouvez ci-dessous la liste des plans PAPI applicables à la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys. Bassin à risques Non renseigné Type de risque Inondation - Par ruissellement et coulée de boue Mouvement de terrain Inondation Mouvement de terrain - Recul du trait de côte et de falaises Inondation - Par une crue à débordement lent de cours d'eau Inondation - Par submersion marine Début du programme de prévention PAPI 01/07/2019 Historique des catastrophes naturelles à Saint-Gildas-de-Rhuys La France a connu plusieurs catastrophes naturelles d'importance dernièrement et notamment des inondations avec, par exemple, en octobre 2020, des inondations dans les Alpes-Maritimes ayant causé 7 morts ou, en octobre 2018, des inondations dans l'Aude occasionnant 15 morts tandis qu'en juin 2019, un vague de chaleur a causé 567 morts sur l'ensemble du territoire français. Inondations et/ou Coulées de Boue Survenu entre le 25/12/1999 et le 29/12/1999 Reconnu catastrophe naturelle depuis le 29/12/1999 Mouvement de Terrain Survenu entre le 25/12/1999 et le 29/12/1999 Reconnu catastrophe naturelle depuis le 29/12/1999 Tempête Survenu entre le 15/10/1987 et le 16/10/1987 Reconnu catastrophe naturelle depuis le 22/10/1987 Les risques majeurs à Saint-Gildas-de-Rhuys Mouvement de terrain Le risque de mouvement de terrain est lié à des phénomènes naturels comme la fonte des neiges, les séismes, les précipitations ou à des phénomènes causés par l'humain comme le déboisement ou l'exploitation du sol. Les mouvements de terrain peuvent être lents et déformer progressivement le territoire ou rapides effondrements, éboulements, coulées boueuses. Inondation Le risque d'inondation en France est le premier risque naturel et est essentiellement corrélé à des précipitiations durables et importantes occasionant la crue de cours d'eau. Les inondations peuvent aussi être causées par des phénomènes marins submersion marine ou par des remontées de nappe Mouvement de terrain - Tassements différentiels Le risque de mouvement de terrain est lié à des phénomènes naturels comme la fonte des neiges, les séismes, les précipitations ou à des phénomènes causés par l'humain comme le déboisement ou l'exploitation du sol. Les mouvements de terrain peuvent être lents et déformer progressivement le territoire ou rapides effondrements, éboulements, coulées boueuses. Feu de forêt Les risques de feux de forêts, qu'ils naissent en raison de la foudre, accidentellement ou par une action malveillante nécessitent la réunion d'un combustible, d'une source externe de chaleur et de la présence d'oxygène. Il en existe trois sortes de sol, de surface et de cimes. Phénomène lié à l'atmosphère Les phénomènes liés à l'atmosphère correspondent à un changement d'état de l'eau contenue dans l'atmosphère et des perturbations physiques. Ce changement peut occasionner, notamment, des pluies verglaçantes, des chutes de neige ou de grêle, des tempêtes, ouragans, cyclones, tornades... Phénomène lié à l'atmosphère - Tempête et grains Inondation - Par submersion marine Le risque d'inondation en France est le premier risque naturel et est essentiellement corrélé à des précipitiations durables et importantes occasionant la crue de cours d'eau. Les inondations peuvent aussi être causées par des phénomènes marins submersion marine ou par des remontées de nappe Les autres risques à Saint-Gildas-de-Rhuys Outre les risques évoqués ci-dessous, la France fait face à des risques sismiques et des risques liés au radon, un gaz radioactif émanant des roches du sous-sol, de façon très variable en fonction des territoires. Qu'en est-il pour la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys 56730 ? Le risque sismique Le risque sismique en France concerne surtout les DOM-TOM et en particulier les Antilles françaises, où le risque sismique est évalué à la note maximum de 5 partout ailleurs, il ne dépasse pas 4 d'après le zonage sismique du territoire français. En terme d'évnéments, les séismes représentent 6% des 180 catastrophes naturelles recensées en France entre 1900 et 2017. On dénombre annuellement un vingtaine de séismes d'une magnitude supérieure à 3,5 sur l'ensemble du territoire risque sismique évalué à Saint-Gildas-de-Rhuys est de 2 sur 5. Le risque radon Saint-Gildas-de-Rhuys et toutes les autres communes de France sont notées de 1 à 3 pour établir leur degré d'exposition au risque radon. Le radon est un gaz radioactif issu de la dégradation des roches du sous-sol. Inhalé régulièrement sur le long terme, ce gaz peut favoriser chez l'homme l'apparition du cancer du poumon. En cas de taux élevé de radon dans l'air intérieur mesurable via des dispositifs disponibles dans le commerce, il est fortement recommandé d'aérer généreusement son logement et de limiter le contact entre l'air intérieur et le sol en colmatant, par exemple, les fissures au contact du sol. En effet, le radon est produit par la décomposition des roches du risque radon établi à Saint-Gildas-de-Rhuys est de 3 sur 3. Les PPR Plans de Prévention des Risques à Saint-Gildas-de-Rhuys Les PPR plans de prévention des risques naissent en 1995 et sont établis sous l'autorité des sont des documents émis par l'État français qui délimitent les territoires exposés à des risques naturels, technologiques ou anthropiques, détaillent la nature de ces risques et les mesures qui s'imposent par sécurité. Ces documents peuvent ainsi justifier la mise en place de servitudes d'utilité publique, de zones inconstructibles ou encore de zones constructibles mais dont l'urbanisme doit respecter le règlement du PPR peut se composer de PPR plus spéciques, relatifs à un type de risque précis. On peut ainsi citer le PPRM plan de prévention des risques miniers prévisibles ; le PPRL plan de prévention des risques littoraux prévisibles ; le PPRIF plan de prévention des risques d'incendie de forêt ; le PPRA plan de prévention des risques d'avalanche. Quelle répartition dans l'occupation du territoire à Saint-Gildas-de-Rhuys ? Le GisSol Groupement d'intérêt scientifique sur les sols, regroupant notamment le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, l'Institut National de la Recherche Agronomique ou encore l'Institut national de l’information géographique et forestière IGN étudie et valorise, au niveau européen, l'état des sols a délivré un diagnostic complet de l'état des sols en France métropolitaine et dans les territoires d'Outre-Mer issu de dix années de travail en la matière. La qualité des sols a subi des dégradations liées à l'activité agricole ou forestière, de l'exploitation industrielle, ou encore de l'urbanisation et de l'artificialisation des sols un phénomène qui concerne plus de 9% du territoire métropolitain. Parmi ces effets délétères on peut citer le tassement, l'érosion, la contamination, l'appauvrissement des composés organiques du sol. En France, un phénomène d'artificialisation des sols dû à l'urbanisation a bouleversé l'occupation des sols même si cette tendance a ralenti avec une augmentation annuelle de +0,49% entre 2006 et 2012 contre 1,30% entre 2000 et 2006. Il en résulte, par exemple, une raréfaction des terres agricoles. Mais qu'en est-il du territoire couvert par la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys ? Zones urbanisées 452ha 30%. Prairies 434ha 28%. Zones agricoles hétérogènes 289ha 19%. Terres arables 113ha 7%. Forêts 79ha 5%. Espaces verts artificialisés, non agricoles 70ha 5%. Milieux à végétation arbustive et/ou herbacée 67ha 4%. Eaux continentales 29ha 2%. Zones humides côtières 7ha 0,47%. Les SIS Secteurs Informations Sols à Saint-Gildas-de-Rhuys Les SIS secteurs d'information sur les sols sont des territoires aux sols pollués par l'exploitation industrielle, identifiés par l'État français et rendus publics suviant le principe du "porté à connaissance". Leur exploitation à des fins de construction ou de reconversion peut nécessiter diverses mesures afin de limiter leur impact néfaste en terme d'environnement, de santé ou de salubrité publique. Quels sont les secteurs d'information sur les sols à Saint-Gildas-de-Rhuys ? D'après nos informations, la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys n'est concernée par aucun SIS. Les communes à proximité de Saint-Gildas-de-Rhuys Voici les communes à proximité de Saint-Gildas-de-Rhuys. Pour accéder à une fiche, cliquez sur l'un des liens.
Locminé tire son nom de Loch Menech, lieu des moines Certains historiens affirment que vers le VIIème siècle les disciples de Saint Gildas de Rhuys créent à l’extrémité méridionale de la paroisse, l’Abbaye Saint Sauveur de Moriac ou Moréac ».En 919, l’Abbé Taneth et ses moines s’enfuirent éperdus devant les féroces normands, qui brûlèrent leur 1008, Félix, moine de Fleury releva les ruines de Saint Gildas de Rhuys, mais conserva Locminé comme un prieuré dépendant de sa nombreuses habitations se groupèrent bientôt autour du couvent et formèrent un bourg dont le prieur devint naturellement le chef spirituel et le seigneur moyen-âge à Locminé Le Monastère de Locminé Il semble que c'est Louis Le Débonnaire, venu en Bretagne, qui introduit la règle de Saint Benoît à Locminé en l'an 819. Quelques décennies plus tard, les Normands ravagent les territoires qui deviendront la France. Et Dom Lobineau situe en 877 le moment où ils entrent en Bretagne sans que personne ne les en empêche. Cette nation féroce n'avait pas encore exercé de si grande cruauté, ni était allé aussi loin dans le pays que cette fois. Ils dévastèrent tout par le fer et par le feu depuis la Loire jusqu'à la rivière du Blavet. Les religieux de Rhuys et de Loc-Miné dans le diocèse de Vannes se retirèrent dans le Berry, battirent un monastère à Déols, monastère consacré en Borderie donne une date différente. Il parle de l'été 888 et précise que "les moines de Loc-Menech, emportant avec eux leurs vases et leurs ornements sacrés, leurs chroniques, légendes, livres liturgiques, et surtout leur plus précieux trésor, les reliques de leurs saints."Le chanoine Le Mené place l'événement en 919. Cayit-Delandre confirme les faits, mais d'après lui ils se produisent "vers la fin du siècle", sans plus de au Chanoine Danigo, il écrit à propos des invasions normandes dans la région "vers 920, le péril se fit plus pressant. Les moines de Locminé, avec à leur tête, l'Abbé Taneth, se joignirent à ceux de Rhuys et s'en furent chercher asile au cœur du Berry, là où s'élève actuellement la ville de Châteauroux. Le seigneur des lieux, nommé Ebbon, leur accorda une île de l'Indre et ils édifièrent un monastère sous le double nom de Saint Gildas et "Saint Sauveur."Ruinée la maison de Locminé demeure alors déserte pendant un siècle environ. Le Prieuré Saint Sauveur En 1008, Geoffroi 1er, duc de Bretagne, demande à Gauzlin, abbé de Fleury en Saint-Benoît-Sur-Loire, quelques moines pour travailler à relever les abbayes de Saint Gildas de Rhuys et de envoie d'abord Félix, qui s'installe à Saint Gildas de Rhuys, Mais dirige cependant la restauration de Locminé. La Borderie a expliqué ce qui se passe alors "Que pouvait-il rester des deux monastères ? Quand on se rappelle que presque toutes les constructions du IXème siècle étaient de bois il est aisé de répondre rien. Les églises seules, à Ruis et à Loc-Menech, avaient jadis été faites de pierres, et l'on en trouva quelques restes. Quels restes ! Quelques pans de murs, le sol encombré de ronces, de gros arbres qui bouchaient les portes et abritaient les bêtes fauves, seuls hôtes de ces ruines. La première condition nécessaire pour appeler là des moines, ce seraient de pouvoir les loger; mais les ressources sont petites, le résultat de l'appel incertain; on se borne donc à bâtir d'abord, comme les moines du VIème siècle, de petites logettes pour les futurs habitants de la future communauté. Cependant ces loges se remplissent, et quoique le nombre de collaborateurs soit encore bien faible en vue de la grandeur de l'œuvre, Félix l'entame vaillamment. Locminé avant la Révolution Un des actes le plus ancien où Locminé est citée nommément en tant que localité propre, date de mai 1272, il concerne l'achat par le vicomte Alain VI de Rohan à Alain de Quenhouët " de 13 livres 10 sols de rentes à Lomené".Au siècle suivant, Jean de Locminé assure l'intérim du siège épiscopal de Vannes, de 1359 à novembre 1361, entre les évêques Gauthier de Saint père et Geoffroi de Rohan. Quelques dizaines d'années plus tard la paroisse de Moustoir'Ac devient dépendance de Locminé – alors dénommée "Lomenec" ou "Locus-Monachorum". A ce moment une butte féodale existe au lieu-dit Quistinic. Ses quatre tourelles, reliées entre elles par des courtines et entourées de douves profondes ne seront détruites qu'au début du XIXème documents de cette époque sont rares, concernant Locminé. Il en existe cependant quelques-uns, qui nous éclairent, faiblement, sur ce qui s'y passe • En 1518, un grand événement se passe à Locminé. Le roi François 1er visite le duché de Bretagne. Le 16 août il est à Nantes, le 1er septembre à Vannes. Il passe par Auray, qu'il quitte le lundi 13 pour se diriger vers Pontivy. Le roi se déplace à cheval et les chroniqueurs de l'époque – qui ont retracé son itinéraire – sont formels François 1er et sa suite font étape à Locminé le lundi 13 septembre au soir.• En 1560, il existe un moulin à tan, situé à Kerpiège, et qui appartient au prieur de Locminé, ce qui confirme que dès cette époque, des tanneries et des ateliers travaillant le cuir, fonctionnent près du Tarun.• Bignan est alors le siège principal de la justice dans la région Manoir de Tréhardet, mais celle-ci s'exerce aussi parfois, dès la première moitié du XVIIème siècle, à Locminé, où se trouvent les prisons. Les piloris et les carcans s'élèvent à Moustoir'Ac.• D'octobre 1633 à janvier 1634, la peste sévit à Locminé et "la contagion déloge la plupart des habitants. Ceux qui ne trouvent pas où se retirer aux champs rendent bossu le cimetière de quelques 250 corps. Ce qui a fourni surcroît de frayeur a été le feu qui, le jour de la Nativité de Notre-Dame, a brûlé 44 maisons devers la rivière, vers la Vraie-Croix". Le mal fera succomber un sixième de la population en quelques mois.• La majorité des habitants de la paroisse sont alors des paysans cultivateurs et des petits artisans bouchers 20 à la fin du XVIIème siècle, cordonniers 30 en 1703, tisserands ou tessiers, tanneurs 22 en 1703, cloutiers.• En 1703, Locminé compte six auberges celle du Lion d'Or a pour hôte Jean Pépion, celle du cheval blanc est à Etienne Rallier; celle du Chapeau Rouge à Barnabé Le Jeune. Les noms des tenanciers des auberges de la Croix Verte, du Croissant et de la Croix Rouge ne sont pas parvenus jusqu'à nous. Le prieuré Après sa restauration par Félix au début du XIème siècle le prieuré de Locminé mène une existence paisible. De nombreuses habitations se groupent bientôt autour de lui et forment un bourg, dont le prieur devient naturellement le chef spirituel, mais aussi le seigneur temporel. Il reconnaît le vicomte de Rohan comme son suzerain et il lui rend aveu aux plaids généraux de la barre de Pontivy " à congé de personne". Le prieur bénéficie dès lors des droits de basse, moyenne et haute justice. Il gère également la prison. Le prieuré possède plusieurs maisons, une halle, un four banal et un moulin à eau et un autre à vent, rue Moque-Souris et à Kerpièche. La dîme est alors en partie ecclésiastique et en partie féodale. Les religieux assurent bien entendu le service pastoral aux habitants du lieu et le "Loc-Menech" forme bientôt une paroisse autonome, séparée de celle de Moréac, et formant un territoire beaucoup plus petit que ceux des paroisses on ignore l'époque exacte à laquelle les moines ont quitté le prieuré, on sait cependant qu'en 1639, la maison prieurale, contiguë à l'église est toujours debout et qu'un aveu mentionne "un vieux cloître en ruine".En 1701, les bâtiments du prieuré n'existent plus. On en voit seulement l'emplacement au sud de l'église, avec la porte d'entrée encore paroisseLa paroisse de Locminé naît à une date inconnue, et ses recteurs d'abord nommés vicaires perpétuels succédèrent aux prieurs auprès des habitants au cours du XVème siècle. Le prieur leur cède alors une partie de ses revenus pour leur tenir lieu de portion congrue. Les recteurs sont présentés par l'Abbé de Saint Gildas de Rhuys. La paroisse dépend alors du doyenné de XVème siècle environ, la paroisse étant trop petite pour y faire vivre normalement le clergé local, les évêques de Vannes jugent à propos d'unir à Locminé la paroisse de Moustoir-Radenac ou Moustoir-Ac. Le recteur se fixe naturellement à Locminé, comme dans le lieu le plus important au point de vue population, et charge un curé, choisit et rétribué par lui, de résider à Moustoir-Ac pour y faire les baptêmes, les mariages et les sépultures, comme dans le passé. A Locminé, le recteur est assisté d'un situation secondaire fit considérer le Moustoir-Radenac ou le Moustoir-Locminé comme une simple trêve, mais bien à tort, car c'était une véritable paroisse, simplement unie à une autre. Il y aura d'ailleurs toujours deux églises et deux part, en plus du recteur et de son vicaire, il existe à Locminé "une communauté de prêtre" qui compte 5 à 6 membres. A Locminé, l'église fut donc placée sous le vocable de Saint Sauveur auquel même on attribua le titre de patron de la écolesVraisemblablement les moines du prieuré instruisirent, dans des temps lointains, avant le XVème siècle, quelques jeunes gens, ne serait-ce que pour assurer leur recrutement. Par la suite on ignore tout de ce qui peut concerner un enseignement quelconque jusqu'au XVIIème siècle. A cette époque plusieurs régents propagent leur savoir à Locminé, mais uniquement à une classe riche, délaissant la grande masse du peuple. Quelques noms sont parvenus jusqu'à nous de ces enseignants, qui prodiguent essentiellement la lecture et l'écriture, le latin et le calcul. Ce sont Maître Vincent Laurent 1612-1678 qui enseigne durant 25 ans tout en assumant les fonctions de chantre de l'église, de notaire apostolique et de protonotaire de la juridiction ducale de Rohan à Locminé – et son successeur, Yves Le Masson, Procureur à Locminé en de Bertin, évêque de Vannes, envisage en 1758, de créer deux écoles, à Locminé, pour les filles et les garçons. Pour ce faire, il acquiert le 22 septembre une propriété occupant l'ancienne maison prieurale et ses dépendances, et y construit en 1760, une école. Le premier instituteur des garçons est Pierre Le Boucher qui deviendra Recteur de Locminé en 1763. Il sera remplacé par Mathurin Robin, puis par Louis Richard. Tous dirigent alors ce qu'on appelle pompeusement "le collège".Pour les filles, il faut patienter un peu, car il faut trouver des enseignants. L'évêque songe aux sœurs de la Sagesse. Il écrit également au général de la paroisse "pour avoir acquiescement ou refus à ce que les filles de la Sagesse, propre à éduquer la jeunesse et traiter les pauvres et les malades fussent venues à Locminé occuper la maison que le dit Seigneur évêque à fait édifier à dessein." L'évêque transmet cette missive à la maison-mère des sœurs, qui ne tarde pas à envoyer trois religieuses. Locminé possède ainsi deux écoles dès 1765, longtemps avant les paroisses de même importance de la région. Locminé sous La Révolution Les causesA partir de 1775, un mécontentement général grandit dans toute la France, provoqué par les difficultés de la vie et les inégalités sociales. Les conditions de vie du monde rural sont particulièrement pénibles les outils manquent, le grain pour semer est rare, les logements sont mal équipés. Dans les petites agglomérations comme Locminé, les journaliers qui constituent la majorité de la population vivent dans des conditions plus que précaires. Et bientôt la prière ne suffit plus. Les mendiants eux-mêmes très nombreux songent à se rebeller. Les Etats Généraux et les DoléancesLe 8 août 1788, Louis XVI se résigne à convoquer les états généraux pour le 1er mai 1789. Les paysans de la région de Locminé suivent alors les bourgeois de Bretagne dans leur lutte contre la noblesse. Locminé n'est pourtant pas, à l'époque, une paroisse " très avancée" et ses habitants n'ont rien de révolutionnaires. Elle a pourtant subi l'influence du grand mouvement démocratique "qui fait de la Bretagne la première et la plus opiniâtre de toutes les provinces de France à réclamer l'égalité sociale et les libertés politiques".Le dimanche 29 mars 1789, le procureur du roi de la sénéchaussée de Ploërmel invite les locminois à "convoquer au son de la cloche, en la manière accoutumée, l'assemblée des habitants pour, par les dits habitants et communauté, tenir leur assemblée, dresser leur cahier de doléances, plaintes et remontrances et nommer leurs députés."La création de la municipalitéPar décret du 22 décembre 1789, la Constituante crée les départements. Cette décision est effective le 15 janvier 1790. Le décret supprime de toute carte et de tout document officiel le nom de "Bretagne". Le Morbihan est le seul des départements bretons à porter un nom breton. 86 départements sont ainsi créés, dirigés par un préfet et par un conseil général élu. Chaque département est divisé en districts. Pontivy est le siège de l'un d'eux, qui englobe 7 cantons et 49 communes. La paroisse de Locminé est bien entendue érigée en une commune comptant 1666 habitants, et devient chef-lieu d'un canton du district de Pontivy. Ce canton englobe Moustoir-Radenac 1450 habitants, Naizin 1861 habitants, Moréac 2200 habitants et Plumelin 2119 habitants.Le 5 février 1790, il existe à Locminé un "Comité permanent", composé de 7 membres et présidé par Pépion. C'est alors Jean-Pierre Acquary qui est maire de 19 mars, la municipalité renouvelle sa demande d'obtenir "une juridiction royale". Soutenus par Saint-Jean-Brévelay, Réguiny, Plumelin, Saint-Allouestre et Bignan, les officiers municipaux de Locminé écrivent à l'assemblée nationale, mais la loi du 24 août 1790, ne leur donnera pas chouannerieLe soulèvement de Pluméliau et l'attaque de Pontivy – les 14 et 15 mars 1793 – constituent, de fait, le début de la chouannerie dans la contrée. Les habitants privés de la liberté de leur culte et vexés par les républicains, fournissent de nombreux volontaires à la cause royaliste. Cette véritable guerre civile, où s'opposent donc les partisans du roi et ceux de la république, va continuer à troubler les campagnes environnantes qui verront souvent des affrontements sanglants entre les "blancs" et les "bleus". Les cantons morbihannais, de Locminé à Josselin, de Pluméliau à Vannes, de Bignan à Auray, vont fournir à eux seuls autant de combattants que le reste de la Bretagne. Au total la Bretagne aura cent mille hommes sous les armes pendant cette chouannerie que Napoléon nommera "la guerre des géants".Le recrutement des soldats réclamés par la Convention 300 000 pour la France, 403 pour le district de Pontivy se déroule pourtant assez calmement à Locminé malgré la nécessité d'une intervention de la gendarmerie contre les jeunes gens de Moustoir-Radenac qui refusent de se présenter à de l'armée demeure primordial. L'objet des chaussures est le plus important. "Aux défenseurs de la liberté il faut avant tout des souliers" écrit l'administration départementale. Du fait de l'importance de Locminé dans cette industrie, tous ces cordonniers sont "en réquisition par ordre du directeur de Pontivy" le 13 octobre 1793. Ils ne travaillent désormais que pour la partir de février 1794, la persécution religieuse s'intensifie. Les églises et chapelles sont mises à sac. Toute l'argenterie de l'église Saint-Sauveur est saisie. On descelle et brise des objets de fer et de cuivre et les cloches sont expédiées à la fonderie de la Monnaie à Nantes. On ne laisse que la grosse cloche pesant 1718 livres et une autre plus petite. Puis la municipalité prise de zèle patriotique, décide de les sacrifier pour en faire des autre côté la chouannerie s'organise, se structure Moustoir-Ac fournit une compagnie de volontaires, dirigée par Louis Jéso, qui cerne Locminé le 10 mars 9 novembre 1799, une nouvelle sensationnelle arrive à Locminé le directoire national a "démissionné" ou plutôt a été démissionné", par le général Bonaparte. Ce coup d'état va mettre un coup d'arrêt à la guerre civile. La France va être dirigée par trois consuls et, dès le 24 décembre, Bonaparte se fait reconnaître premier consul. Et le 28 décembre, Bonaparte lance une proclamation qui promet une amnistie générale et le rétablissement du culte une sorte d'arrière chouannage se poursuit pendant quelques années, mais peu important en comparaison de ce qui s'est passé il y a 6 ans. En effet en Bretagne, Cadoudal cherche bientôt à ranimer une fois encore le mouvement insurrectionnel, mais ne réussit qu'à grouper un assez petit nombre de partisans. Les campagnes sont bien trop lasses des printemps 1800, lorsque Bernadotte est nommé commandant en chef de l'armée de l'ouest, celle-ci est réduite à la suite d'un calme relatif de 47 000 à 18 000 hommes. Son but est maintenu de faire disparaître les derniers chouans. Son quartier général est installé à Rennes, mais à l'automne, devant une recrudescence de l'activité chouanne, l'effectif est à nouveau porté à 30 000 et Guillemot, à la tête de leurs bandes, sévissent toujours dans la région. Bernadotte se rapproche et transporte son quartier général provisoire au château de Pontivy du 12 mai au 17 juin 1801. Le Concordat, signé par Bonaparte le 15 juillet 1801, rétablit la paix religieuse en France et ramène une quasi-pacification dans l'Ouest. Aucun chouan n'ayant été pris depuis le début de l'année 1802, l'armée de l'ouest est dissoute par Bonaparte le 13 avril pour compter du 21 mai, et l'état de siège est alors levé dans le pacification sera totale après les captures et les exécutions de Georges Cadoudal Paris 9 mars et 24 juin 1804 et de Pierre Guillemot Plaudren 16 décembre 1804 et Vannes 5 janvier 1805.La révolution et la chouannerie ont définitivement vécu… Traditions et culture Le petit train Le rail a joué un rôle très important à Locminé pendant 45 ans, de 1902 à sous le Second Empire, Locminé rêve d'un chemin de fer lorsque la ligne Auray-Napoléonville est à l'étude. Mais lorsque cette ligne est inaugurée, en décembre 1864, elle évite Locminé et passe par de multiples projets, le 14 juillet 1901, à Locminé, on procède à l'inauguration de la gare, en présence du préfet du Morbihan. Mais la ligne de Locminé à Ploermël n'est ouverte que le lundi 1er septembre 1902. Trois trains quotidiens partent de Locminé pour aller à Ploermël, après un trajet de 2 heures 05. Puis le 12 octobre 1902, c'est l'ouverture de Locminé-Vannes avec trois trains dans chaque sens, qui effectuent le trajet en 1 heure 30. En 1902, la Compagnie des Chemins de Fer d'Intérêt Local du Morbihan transporte près de 55 000 voyageurs. Locminé est le centre le plus important du Morbihan. Une centaine de personnes y travaillent à l'entretien du matériel et à son exploitation. A partir de mai 1905, Locminé est relié à Pontivy, puis à partir d'octobre 1905, à Cléguérec, Guémené et Meslan via Pontivy. Pour lutter contre les services de cars exploités vers Vannes, Pontivy et Auray à partir de 1923 et 1924, le met en services des "automotrices" plus rapide que le train sur son réseau en 1931. Un service postal par automotrice est également créé vers Vannes en 1932. Après un grave accident survenu au mois de septembre 1938, à Radenac, le conseil régional décide la suppression "du petit train". Malgré les protestations du conseil municipal, les autorails sont remplacés par des cars du en 1939. Mais la guerre apporte un sursis au train. Utilisé par les voyageurs, le train sert aussi aux Allemands pour la construction du mur de l'Atlantique. Mais à la fin de la guerre, l'arrêt définitif approche. Le dernier "petit train" part de Locminé le mardi 8 juillet 1947. A l'été 1948, les rails ont disparu. Les vieux métiers Sabotiers La fabrication de sabots est très ancienne à Locminé ; dans les années 1950, il y avait encore 6 sabotiers. La plupart l'étant de père en fils. Le sabot était, de bout en bout, l'œuvre du même artisan, qui avait choisi son arbre en général un hêtre en forêt, et qui personnalisait chaque pièce selon les goûts et besoins de son client. Le sabot des enfants était complété par une bande de cuir qui soutenait la cheville et se laçait sur le cou-de-pied ; les petits pieds étaient protégés du froid par des chaussons de sabots avec une bande de cuir en bride s'appelaient des "claques" ou des "hirondelles" en raison de leur légèreté et de leur bout sabots locminois avaient une pointe un peu relevée, et finement décorée d'un léger motif sculpté ; ils étaient renommés pour leur élégance. La fabrication des sabots a cessé avec l'apparition des bottes en caoutchouc après 1950. Les Cloutiers La maillette était une variété de clous à souliers, à tête octogonale, qui avait été inventée par un maitre-ouvrier locminois, et dont la notoriété s’était vite répandue dans la contrée et bien au-delà. Placées sous les souliers, les maillettes rendaient, parat-il, les semelles convient de signaler qu’au siècle dernier, étaient exploitées, au lieu-dit La Pompe » des mines de fer à ciel ouvert. Le minerai servait notamment à la fabrication de ces fameuses maillettes. Sont sont sont les gars de Locminé, qui ont de la maillette sans dessus dessous … » popularisée par la chanson, la maillette est devenue l’emblème de Locminé. Cette chanson rappelle aussi que Locminé produisait du cuir. Avec ce cuir, les artisans locminois faisaient de solides et magnifiques brodequins. Il s’agissait de travail à la main que rien ne les souliers de Locminé étaient recherchés, leur vogue était due, non seulement à l’adresse des cordonniers et à la qualité du cuir, mais aussi aux bonnes maillettes dont ils étaient ferrés. Les maillettes étaient fabriquées sur place, par une demi-douzaine de cloutiers. Fileuses, tisserands, cordiers, tailleurs Le tissage du lin aurait été introduit en Bretagne par la duchesse Anne et ce fut une activité florissante à Locminé comme ailleurs ; en témoigne la rue du Fil et les nombreux "Texier" pour Tisserand dans les noms de famille de la jusqu'au XVIème siècle, en plus du tisserand de métier, il y eut dans chaque maison des femmes qui filaient au fuseau et au rouet, et qui tissaient ce fil sur des métiers à tisser rudimentaires ; le tissu grossier ainsi fabriqué était lui-même taillé et cousu à demeure par les habitants. La toile de laine obtenue dans la région des "moutons blancs" de Pontivy et de Locminé était inusable et si imperméable qu'aucune pluie ne la traversait. Au XVIIème siècle, beaucoup de tisserands et de cordiers, travailleurs à domicile, façonnaient les toiles et les cordes nécessaires à la Marine. Cela se faisait aussi dans les bourgs environnants, et il en reste, à Remungol par exemple, l'architecture traditionnelle des maisons de Sainte Anne du Bâtiment les bâtiments étant les bateaux de la Compagnie des Indes de Lorient. Plus tard apparut le métier de tailleur il allait travailler de maison en maison, de ferme en ferme, à la demande. Logé sur place, il était au courant de tous les potins, voire de tous les drames du pays... d'autant plus qu'il servait aussi d'intermédiaire baz valan pour les mariages. Aussi était-il à la fois attendu pour ses compétences et pour toutes les nouvelles qu'il transmettait, et redouté pour sa curiosité et ses commérages ! Lavandières Il n'y avait pas de machine à laver autrefois et manier les lourds draps de lin n'était pas une partie de plaisir. C'est pourquoi, le lavoir était l'équipement collectif de base de chaque quartier et de chaque hameau. Fresque représentant des lavandières visible rond-point de la République A Locminé, plusieurs lavoirs publics fonctionnaient le long du Tarun et de ses petits affluents à Pont Person, Pont Coët, Pont Mab Olivier, à la Pompe et au Pastis. Celui de Pont Mab Olivier Mab= fils en breton, rue Alain Lesage, au pied du plan d'eau du Bois d'Amour, reçoit encore quelques lavandières, qui apprécient la souplesse du linge ainsi lavé et rincé "à grande eau". Outre ces lavoirs publics, chaque maison riveraine du Tarun ou du Signan avait son lavoir privé. Jusqu'au milieu du XXème siècle, chaque maison faisait appel à des lavandières de métier, surtout pour les "grandes lessives" saisonnières, effectuées 2 ou 3 fois par an. Le linge était brossé, décrassé au battoir, mis à tremper avec de la cendre de bois en guise de lessive, puis rincé à l'eau claire et séché au grand air, sur l'herbe ou sur la haie. Le lavoir du Pont Coët Le lavoir du Pont Coët a été détruit dans les années 70 pour créer quelques places de l'origine, il servait surtout aux lavandières de métier, qui pouvaient y laisser à demeure les grands bassins en fonte pour faire tremper le linge ; en revanche, elles apportaient sur leur brouette le bois pour le feu, nécessaire au chauffage de l'eau de lessive. En 1950, il était encore utilisé quotidiennement par 8 à 10 lavandières. Le lavoir du Pont Mab Olivier Le lavoir du Pont Mab Olivier est le seul existant encore aujourd'hui il a été rénové en 2008 ; à l'inverse de celui du Pont Coët, il était utilisé par les femmes du quartier, et non par les lavandières de métier. Les journaux de l'époque rapportent un accident survenu le 6 juillet 1908 un violent orage provoqua un glissement de terrain en amont, et le Signan se transforma en torrent de boue ; une lavandière fut enlevée par le courant et ne dut son salut qu'à l'aide de passants qui réussirent à l'en extraire avant complète asphyxie. Autres métiers présents à Locminé Chef-lieu de canton, ville de marchés, Locminé avait et a toujours une importante fonction commerciale et artisanale, capable de couvrir pratiquement tous les besoins de ses habitants et de la population rurale pourquoi, outre les métiers de l'habillement et des textiles, on trouvait à Locminé, dans les années 1950 • 2 bourreliers• 1 charron• 2 maréchaux-ferrants• 2 réparateurs de cycles• 1 réparateur de machines agricoles• 1 vendeur réparateur de machines à coudre, qui gérait aussi un petit atelier de tricot• 1 sculpteur sur bois statues, objets décoratifs, mais aussi sculptures sur les meubles fabriqués par les menuisiers• plusieurs menuisiers et ateliers de mobilier• 3 scieries dont 2 importantes routes de Bignan et route de VannesEvidemment il existait tous les métiers du bâtiment et de l'alimentation, mais ceux-ci subsistent toujours aujourd'hui, même s'ils ont profondément évolué.• une dizaine de crêpières Les places Dans un village, la place est le lieu de rencontre. Rien d’étonnant que Locminé soit un village aussi dynamique puisqu’il en compte de nombreuses où se déroulent dès le 16ème siècle les foires et marché . Rond-point de la République. Place du Vieux marché. Place du marché ou du champ de foire. Place de la maillette. Place Saint-Antoine. Place Joseph Richard. Place du 11 novembre. Place des Martyrs de la Résistance 1 - Rond-point de la République D'abord appelé place Saint-Sauveur où se déroulait le marché aux grains puis place de la République et enfin le nom qu'elle porte aujourd'hui après élargissement de la rue. 2 - Place du Vieux Marché Ancien cimetière, puis jardin du presbytère avant de devenir le lieu du marché vers 1865. Elle portait alors le nom de place des tilleuls puis square de Gaulle en octobre 1944 alors qu'elle accueille le monument aux Morts. 3 - Place du marché, place Notre Dame ou champ de foire Elle accueillait le marché aux bestiaux jusqu'en 1966, date à laquelle il fut créé un foirail moderne, place de la Gare. 4 - Place de la Maillette A l'époque, la place la Maillette accueillait le marché aux veaux 5 - Place Saint-Antoine Il s'y déroulait le marché aux cochons. Saint-Antoine, patron des éleveurs de porcs et des charcutiers.Vers 1920, la transaction de 4 à 400 porcs n'était pas rare. Des maisons sont mêmes sacrifiées afin d'agrandir la place au milieu du 19ème siècle. 6 - Place Joseph RichardSituée rue de la Fontaine, elle était le lieu de la foire aux chevaux à partir de 1925. Elle se tenait 4 fois par an. 7 - Place des Martyrs de la Résistance La place des Martyrs de la Résistance reçoit un superbe monument, principalement constitué d'un énorme menhir de 18 tonnes. Ce menhir est implanté devant l'école des filles. Il est entouré aux quatre angles du terrain où il est placé, par quatre mâts portant des drapeaux français. Ce monument est inauguré le dimanche 16 octobre 1966. Il a été dressé "à la gloire des résistants incarcérés et torturés en 1943-1944 dans l'école", toute proche. 8 - Place du 11 novembre
Pardélibération du 8 novembre 2021, la commune a prescrit la révision du Plan local d’urbanisme (PLU). Elle est pour cela accompagnée par le cabinet d’étude EOL, et travaille en lien avec Golfe du Morbihan Vannes agglomération. Le diagnostic territorial est désormais réalisé et a été présenté aux Personnes publiques associées (PPA) en reprenant les Voir l'article| Веպаհеղաρ ճ | Хጱбаδаልα чሠгломекрተ |
|---|---|
| Էኗиጴ иραፅаጮэт | Игиյ կጌբοпр о |
| Цуπዒтв դиск | Ծ идиժዖвс кስвαμиፅեсጷ |
| ኜклիριժኻր ψяችօфи | Θгуφоτէ εጧոճыզε |
| ዬкрοкևቬэдо ቇхр շ | Оте шихрашιщу ዞልрс |
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